NOUAKCHOTT
La capitale mauritanienne est une jeune cité en pleine expansion, recelant une bonne infrastructure hôtelière, allant du 5 étoiles à la modeste auberge et un grand nombre de cafés, de restaurants et de villages de tentes proposant une grande variété de menus.
Ville côtière, Nouakchott possède l’une des plus belles plages au monde : très longue étendue de sable fin, blanc, qu’on peut avoir pour soi tout seul, si on s’éloigne d’un ou deux kilomètres du marché aux poissons et des auberges du front de mer.
La plage des pêcheurs où toute une armada de pirogues bariolée accoste tous les soirs pour décharger une marée faite d’une grande variété de poissons et de crustacés, offrant, avec le coucher du soleil sur l’océan calme et dans un ciel clair, un spectacle inoubliable.
La ville offre un certain nombre d’attractions comme le marché de l’artisanat, juste à côté de l’église, le coloré et bruyant marché de la capitale, le musée national, la maison des artistes, la maison des cinéastes, la galerie Zeinart et beaucoup d’autres endroits culturels.
Dans les environs immédiats de la capitale, on peut visiter magnifique Parc National d’Awleigat. A moins de cent kilomètres sur la route de l’Espoir, ce parc animalier réunit des spécimens rares de la faune et la flore du désert et de la savane, des gazelles, des élands impériaux, des girafes, des zèbres aux robes tachetées, des oryx, des mouflons, des élands, des autruches etc. La Direction du Parc y organise parfois des safari photos auxquels peuvent participer des enfants.
En allant vers le nord on entre dans le paradisiaque parc National du Banc d’Arguin, classé patrimoine mondial, où vivent plus de deux millions d’oiseaux d’espèces diverses, des dauphins à bosse, des phoques moines, des poissons volants, une très grande variété de poissons. Le parc est parsemé de villages de pêcheurs traditionnels imraguènes, qui pêchent, soit sur leur lanches (petits voiliers) ou encore, le filet sur l’épaule, en frappant la surface de l’eau, sur un certain rythme, avec des bâtons, pour alerter leurs complices les dauphins qui, alors, rabattent vers eux les bancs de poissons qu’ils n’ont aucune peine à capturer en abondance.
